L’art contemporain : la nouvelle classe d’actifs convoitée par les investisseurs avisés

Pendant longtemps, investir dans l'art contemporain relevait du fantasme pour la plupart des épargnants. Une chasse gardée réservée aux milliardaires comme Bernard Arnault, François Pinault ou encore Vincent Bolloré, capables d'aligner des millions pour un Basquiat ou un Rothko. Pourtant, une révolution silencieuse est en cours. Les œuvres d'art blue chip – celles des artistes mondialement reconnus et très cotés comme Andy Warhol, Yves Klein ou Jean-Michel Basquiat – ne sont plus seulement accrochées dans les musées ou les hôtels particuliers. Elles intègrent désormais les portefeuilles d'investisseurs privés en quête de diversification, de sens, et parfois de rendement. Selon Artprice, l'indice Artprice100®, qui regroupe les 100 artistes les plus performants du marché, a offert une performance historique moyenne supérieure à celle du S&P 500. Et ce, avec une volatilité plus faible et une décorrélation des marchés financiers classiques. « L'art est un placement refuge, mais aussi un marqueur de statut et de vision à long terme », résume un expert du marché secondaire.

 Matis démocratise l'accès à l'art blue chip dès 20 000 euros

C'est dans ce contexte qu'émerge Matis, une société innovante qui propose un modèle d'investissement dans l'art contemporain de premier plan à travers des club deals.

Concrètement, les investisseurs peuvent accéder à une sélection rigoureuse d'œuvres majeures, choisies par des spécialistes du marché de l'art. À partir de 20 000 euros, il est désormais possible de co-investir dans plusieurs pièces d'exception, selon une approche diversifiée, structurée et encadrée.

Depuis sa création, Matis a permis à ses membres d'acquérir 58 œuvres, dont 12 ont déjà été revendues. La performance nette moyenne pour les investisseurs s'élève à +14,45 % (donnée non garantie), pour une durée moyenne de détention de 8,1 mois. Matis est agréée Prestataire de Services de Financement Participatif (PSFP) par l'Autorité des Marchés Financiers (AMF), un gage de sérieux et de transparence.

Autre atout : l'horizon de revente cible entre 2 et 5 ans, qui permet d'allier vision patrimoniale et liquidité relative, dans un univers généralement peu accessible.

L'art, levier de diversification… et de conversation

Au-delà des chiffres, l'investissement dans l'art contemporain incarne une manière de concilier plaisir esthétique, diversification patrimoniale et positionnement social. Ce n'est pas un hasard si les grandes fortunes familiales et les family offices allouent régulièrement une part de leurs actifs à l'art.

Dans un monde saturé de données, posséder une part de l'histoire de l'art – ou participer à son financement – est aussi une manière de rester visible, différent et ancré dans le réel.

Vous êtes CGP, banquier privé, ou investisseur à la recherche de solutions non corrélées aux marchés ? Ne passez pas à côté de ce segment stratégique en plein essor.